
JOYEUX NOËL À TOUS !!!
Les Tongan aiment rire à l’amour. Ils n’ont aucune honte et vont taquiner tous les amoureux. Osant demander des questions assez privé aux couples en question (comme : combien de fois as tu demandé ta copine en mariage etc…) et ça les fait rire, ça oui. Ils ne posent pas ce genre de question avec sérieux, ils posent ces questions pour faire rire tout le monde et les couples en question. Cette une culture et une approche tout à fait différente de la nôtre. Laissez- moi vous raconter une histoire personnelle.
Je suis allée à cette soirée d’activité pour les enfants dans cette église Mormon. Chaque famille était représentée. Je représentais également la sœur de ma copine Susana, Lupe, qui est Mormon. J’ai fais honneur à Céline Dion en chantant en français ("Je lui dirai") sur une île en plein milieu de l’océan. Mais L’expérience que je n’oublierai jamais sera sûrement celle ou Petelo à chanté pour moi, oui vous avez bien entendu. Je plaisais à ce garçon, et oui il a chanté de tout son être ,de tout son cœur une chanson d’amour en me regardant dans les yeux. Et le plus surprenant fu la réaction de la foule. Ils étaient survolés, complètement agités, ils criaient et riaient de toute leurs forces. Et moi perplexe, ne sachant pas comment réagir je me mets à suivre la foule, et ri aux éclats.
Susana et son autre sœur me pousse sur le devant de la scène, elle insiste pour que j’aille lui faire un « hug » (câlin) voyant la gène du ce jeune homme (Petelo est le cousin de Susana). Là encore je ne comprend pas ce qui m’arrive mais je saisi bien que la culture Tongan est impliqué, alors hop je me lance et viens le réconforter dans sa déclaration, et bien sur les gens rient encore de plus belle. Expérience exotique comme je l’appelle.
J’ai l’impression de me retrouver avec les premiers colons arrivant à Tahiti ou autre îles mystérieuses où les habitants se lancent dans des rites inconnus et ou les colons se marient avec les gens des îles. On aurait dit une histoire à la Christophe Colomb et je dois dire que je ne ressent pas que ça dans les histoires d’amour mais que je me suis vu dans ces aventuriers dans chaque détails de mes journées passées à Tonga.....
À suivre......
Pour aller à la plage c’est également l’expédition. Parlons voiture.
La voiture dont je parle est vieille, très vieille mais je devrai pas me plaindre car j’avais au moins une voiture. C’est souvent avec les veilles choses que nous sommes le plus attachée. Cette voiture me manque je dois le dire. Pas de rétro intérieur, pas de ceintures ni à l’avant ni à l’arrière. La police ne dit absolument rien. Comme on dit la bas tout le temps : « Tonga is a free country » (Tonga est un pays libre) et oh combien vrai. La porte gauche avant (celle du passager car on conduit à gauche à Tonga) est complètement cassé. A chaque fois qu’il faut la fermer, c’est une aventure en soit. On l’a soulève et la « colle » si je puis dire ainsi. Selon les jours ou j’avais de la force ou pas j’y arrivais…….ou pas ! Les paranos seraient terrifiés et je dois dire que même si vous n’êtes pas parano vous êtes terrifié au début de monter dans cette voiture. Le chauffeur aussi peu fiable que la voiture dois je dire avec humour. Petelo prend des risques et freine à la dernière minute. Si il a freiné trop tard et bien il passera tout simplement sur le coté gauche ou droit de la route pour ralentir, au choix.
A Tonga faut avoir de la voix. « Io par ci, Io par là ». Tu croises un amis, une connaissance (Tonga est petit, croyez moi vous connaîtrez vite tout le monde) tu cris : « Io », pour chaque voiture qui passe un Tongan connaîtra sûrement quelqu’un, ça devient assez comique en soit et je dois dire que je m’y suis habitué. Je me suis retrouvé à crier : « Io » bien des fois.
Tonga c’est aussi le pays du rire. Les gens rient tout le temps, sans arrêt pour des petites choses. Je me souviens de cette soirée à Kava Idol (même chose que "Nouvelle Star"). La télé avait été invité. Mais là je vous parle de télé Tongan pas française. Les équipes se succèdent pour chanter et jouer du Ukulélé et chants traditionnels Tongan. Pendant les chants, les supporters crient, se lèvent et dansent, tout en passant devant la caméra sans problème. Les danses sont gracieuse et majestueuses ou parfois complètement déjantées. Ensuite pour faire monter les votes, un ou deux chanteurs se lèvent de l’estrade et commence à danser, et souvent imite la danse des femmes qui diffère de celui de l’homme et ça fait rire toute la salle. Si vous voulez faire augmenter les votes à Tonga c’est certainement la meilleure chose à faire. La publique se mettra rire et à crier, ambiance assuré......
A suivre......
J’ai été affamé à plusieurs reprises parce qu’à Tonga quand les jeunes sortent pour la journée ou le soir si la nourriture n’a pas été cuisiné elle risque pas de se cuisiner toute seule. Je me suis donc couché souvent le ventre vide. Affamé : oui ! Triste, en colère : non ! À la fin de mon voyage j’attendais de l’argent qui n’est pas venu en temps voulu, j’ai donc vécu la dernière semaine comme les Tongans. A leur rythme, de la façon la plus naturel. Exemple d’une journée à Tonga :
« Le matin le son du coq me réveil vers 5h ou 7h, bien sur il ne s’arrête pas de si tôt, les « boules Quies » s’imposent ! Je ne compte plus au combien de fois j’ai voulu le tuer ce coq à l’aurore, ou bien son voisin Coq n°2 avec qui il communiquait de si bonne heure. Mais avec le temps je dois dire que je m’y suis habituer. Plus de boule Quies, c’était donc bon signe, je m’acclimatais enfin comme n’importe quel Tongans. La lueur des premiers rayons de soleil furent aussi mon réveil matin. Les nuits restent légèrement fraîches et le matin la chaleur perçant ma chambre vient me rappeler que je suis sur une île, sur un royaume, le royaume de Tonga et ses multiples îles.
Je dis bonjour à toute la maisonnée qui se compose de Susana et de son papa Lévi le plus souvent. Je suis souvent affamé aux premières heures de mes journées. Je commence donc ma journée par un petit-déjeuner. Thé avec un nuage de lait en poudre, crackers aux beurres ou pain Tongan aux beurres. Je prends mon petit-déjeuner dehors sur la table, vu sur les poules et poussins en tout genre, cui cui et woa woa jouant ensemble. A tout les sensibles, s’abstenir de venir manger à Tonga ou bien d’y venir tout court, vous pourriez avoir des hauts le cœur à manger dans des conditions vraiment moins hygiénique que nos pays occidentaux. Pour me laver les mains avant manger, le robinet ne vous distribuera pas d’eau, vous pouvez toujours attendre. La seule chose à faire c’est d’aller à la réserve d’eau de pluie dans le jardin (eau accumulée à la saison des pluies donc très précieuse et à ne pas gaspiller). Vous ouvrez le petit robinet et n’oubliez pas de placer une bassine en dessous pour ne pas perdre une goutte. Oubliez le savon c’est juste pour la douche. Après le repas, mission lavage de dents. Je récupère ma brosse à l’étage, puis prend de l’eau dans une tasse (toujours dans la réserve d’eau de pluie). Je me brosse les dents dans le jardin et me rince la bouche en crachant toujours dans le jardin (coté de la maison réservé spécialement pour les lavages de toutes sortes).
Mission 2 : Prendre une douche ! Je prends cette fois l’eau d’un plus petit container, c’est de l’eau moins propre mais assez tout de même pour prendre une douche. Le frère de Susana rapporte ces containers chaque jours des champs. Je prend ma bassine et une casserole et je prend l’eau à partir du container avec ma casserole et rempli ma bassine. J’y verse bien sur la quantité nécessaire. Je me dirige vers la douche. Et là commence un des moments les plus réjouissant de la journée (oui à Tonga on a des joies simple) : verser sur ma tête avec l’aide d’un récipient l’eau. Il y a rien de mieux que de sentir l’eau glisser sur son corps. Avec une douche à l’occidental les sensations n’existe pas et je conseille vivement d’essayer de vous doucher à la manière de Tonga chez vous au moins une fois dans votre vie. L’eau est bien sur froide, il est donc préférable de prendre sa douche quand il fait encore jour. Je peux toujours avoir de l’eau chaude mais il faut faire chauffer l’eau et attendre encore vingt bonne minutes. La journée peut donc commencer.
Etape suivant : ne rien faire, juste attendre, scruter l’horizon. Les hommes sont aux champs à nourrir les porcs (avec des noix de cocos) , les chevaux, et ramasser les patates douces etc….Susana passe un coup de balais. Son papa scrute l’horizon et ça peut durer des heures sans aucun ressenti d’ennuis. Impatient s’abstenir de venir à Tonga. On m’a jamais demandé si je m’ennuyais, comme si l’ennui n’existait pas, chose étrange du monde occidental. On a fait de nous en occident des impatient, on nous donne à manger, on est des assistés, on ne sait plus rien faire et ça ne colle pas avec notre nature d’origine. Nos enfants (et nous-même le ressentons) j’ai jamais vu d’enfants aussi bien élevé qu’à Tonga. Même si la plupart de travail pas, il y a peu de délinquance mais si cela existe. Les enfants écoutent les aînés avec respects et honneur mais sans crainte, avec amour ! Un Tongan adore rire, tout excuse est bonne pour rire et faire des blagues et bien souvent pour faire rire ils utiliseront des choses qui nous feraient bien moins rire en France, comme pour les garçons se déguiser en fille, c’est pratique courante lors de soirée, ça invite les gens à rire et à briser la glace. Laver ces vêtements fait partie du cérémoniale d’une journée banale à Tonga. Les hommes qui ne travaillent pas font leur lessive à la main bien sûr, les femmes aussi et moi aussi ! L’homme cuisine, lave, aide la femme d’une façon assez émouvante de doit dire. Les femmes dans les îles sont vu comme des créatures sensible et délicates qui apportent la délicatesse dans un monde de brute. Il n’est pas rare d’entendre dans une soirée les hommes appelés les femmes, leur laissant la place pour danser et apporter la douceur dont seules les femmes ont le don.
Tonga est une île pauvre en argent mais riche de cœur. Je payais pour l’essence pour pouvoir aller en ville et à la plage. Le simple fait de pouvoir me connecter à internet me remplissait d’une joie indescriptible. J’ai mis plusieurs jours à me connecter à Facebook. J’ai même du changer de cyber café pour avoir une meilleur connexion qui me coûta bien sur plus cher. Et la meilleure connexion à Tonga serait la pire en France.
Journée plage signifie souvent emmener une bonne partie de la famille, cousins en priorité. On peut rester des heures à regarder l’horizon, à papoter, rigoler. Les Tongan sont de très mauvais nageur et n’aiment pas l’eau. Imaginez vous donc moi qui adore l’eau essayant de les faire nager. Seulement deux de mes amis se sont jeter à l’eau : Petelo (dit Pétélo) et Faguna (dit Fagnuna). Ils vont diront qu’ils ont peur de l’eau, mais une fois dedans ils sont heureux comme j’avais jamais vu. Le sourire jusqu’aux oreilles, et ils sautent encore et encore. J’ai contemplé leurs joies, je ne m’en serai jamais lasser. Ce fu encore un des meilleurs moments que j’ai vécu lors de ce voyage.......
....à suivre.....
1667
Fondation par le jésuite Pierre Raffeix de la mission Saint-François-Xavier dans la seigneurie de La-Prairie-de-la-Madeleine.
1668
Ouverture des registres de la paroisse Saint-François-Xavier.
1673
Arrivée d'une quarantaine de Mohawks amenés par les jésuites du village de Kaghnuwage, sur la rivière Mohawk, dans l'actuel État de New York (USA).
1676
Un village iroquois est aménagé à l'embouchure de la rivière du Portage (Saint-Régis) à l'emplacement de l'actuel hôtel de ville de Sainte-Catherine ; le village adopte le nom de Kahnawake (Coghnawaga).
1680
(29 mai) Concession d'une seigneurie (2 lieues de front, à commencer à une pointe qui est vis-à-vis les rapides Saint-Louis et en montant le long du lac, sur 2 lieues de profondeur) adjacente à la Seigneurie de La Prairie-de-la-Madeleine par le roi de France aux jésuites pour y «retirer les Iroquois» ; il est stipulé que la terre nommée le Sault appartiendra aux jésuites lorsque les Iroquois l'abandonneront.
(31 octobre) Augmentation de la seigneurie du Sault (1 1/2 lieue de front, à prendre en haut du territoire originel, sur 2 lieues de profondeur) par le gouverneur Frontenac en faveur des jésuites qui la nomment Sault-Saint-Louis ; le territoire de la seigneurie est traversé par la rivière La Tortue, la rivière Saint-Régis et la rivière du Portage.
1685
La population amérindienne de la seigneurie est de 682 habitants.
1690
Le village de Kahnawake adopte le nom de Kahnawakon après avoir été déménagé plus haut en face de l'île au Diable.
1695
La population amérindienne de la seigneurie est de 485 habitants.
1696
Le village de Kahnawakon adopte le nom de Kanatakwenke (d'où on est parti) après que le village eut été déplacé par les jésuites à l'embouchure de la rivière Suzanne pour protéger leurs néophites iroquois contre l'influence jugée néfaste des colons français.
1716
Le village de Kanatakwenke prend le nom de Caughnawaga.
1717
(15 juin) Reconcession de la seigneurie du Sault-Saint-Louis aux jésuites «pour y placer la mission des sauvages iroquois».
1720
Construction du presbytère et de l'église de la mission Saint-François-Xavier de Kahnawake.
1782
Le nombre de jésuites restant au Canada les obligent à abandonner la mission Saint-François-Xavier de Kahnawake ; cette mission est alors desservie par les prêtres séculiers du diocèse de Montréal, puis par les Oblats de Marie-Immaculée.
1783
Départ des jésuites et desserte par les Oblats.
1829
(19 novembre) Les Iroquois (Mohawks) se rendent en Europe pour y soutenir leurs droits à la propriété de la seigneurie du Sault-Saint-Louis.
1845
Construction de l'église de la mission Saint-François-Xavier qui remplace celle de 1720.
1854
(18 décembre) Abolition du régime seigneurial.
1860
(1 décembre) La seigneurie appartient à la tribu des«sauvages iroquois».
1903
Retour des jésuites à la mission Saint-François-Xavier.
1905
Construction de l'Hôpital Kateri Memorial.
1923
La population de la paroisse Saint-François est de 2 600 âmes.
1973
(15 octobre) Manifestation d'une centaine de Mohawks qui protestent contre l'occupation d'une maison de la réserve par une famille non indienne.
1980
Le village de Caughnawaga adopte le nom de Kahnawake.
1984
Signature d'une entente avec le gouvernement du Québec qui accorde pleine responsabilité aux Mohawks quant à la construction et au fonctionnement de son hôpital (Centre Kateri).
1987
(23 juin) Fondation de la Caisse populaire de Kahnawake.
1988
Un avis d'expulsion est envoyé à des résidents de la réserve qui ne sont pas mohawks.
1991
(8 janvier) Six policiers de la GRC et de la SQ sont blessés au cours d'une altercation avec des Mohawks armés sur le territoire de la réserve ; 8 Mohawks sont arrêtés.
1995
La population de la réserve est de 6 661 habitants.
1996
Le Conseil de bande réitère devant le comité parlementaire des Transports du Canada sa réclamation du territoire de la seigneurie du Sault-Saint-Louis englobant Delson, Candiac et une partie de Châteauguay.
2003
Incapable de fournir un nouveau curé, les jésuites abandonnent la mission Saint-François-Xavier.
2007
(29 juin) Des Mohawks bloquent la route 30 à la hauteur de Saint-Isidore, puis l'accès au pont Mercier pour manifester leur participation à la première Journée nationale d'action des Premières nations organisée à travers le Canada.
2008
(31 mai) Les Mohawks acceptent que les travaux de prolongement de l'Autoroute 30 commencent le 2 juin suivant en échange d'une promesse du Gouvernement du Québec de céder à la réserve les surplus qui avaient été expropriés en 1990 après la Crise d'Oka pour contourner la réserve ; le gouvernement du Québec parle d'agrandissement du territoire de Kahnawake ; les agriculteurs qui louent ces terres protestent contre l'intention du Gouvernement.
2009
(1 juillet) Le Conseil de bande annonce qu'il ne se pliera pas à une décision de la Cour fédérale lui enjoignant de permettre à Keith Myiow de présenter sa candidature à la chefferie du Conseil de bande ; le conseil veut ainsi manifester qu'il nie tout pouvoir des tribunaux civils canadiens sur la gestion des affaires de la réserve.
(16 juillet) L'avocat de Myiow dépose une requête en révision judiciaire pour faire déclarer nul le résultat du scrutin tenu le 4 juillet précédent.
2010
(2 février) Le chef Michael Delisle ordonne l'expulsion du territoire de la réserve des personnes qui ne sont pas amérindiennes et qui y demeurent avec leur conjoint ou conjointe ; cette action est motivée par l'exiguïté du territoire de la réserve et le fait que les véritables Mohawks (sang pur) pourraient devenir une minorité chez eux compte tenu de la dilution du sang pur occasionnée par les mariages entre races indienne, blanche et autre ; une Mohawke résume ainsi la pensée de plusieurs : «If you marry out, you're out» ; la mesure, souhaitée par le conseil de bande vise 26 des conjoints blancs de Mohawks ; N.B. En vertu de la Loi sur les Indiens, pour être considéré comme mohawk, une personne doit compter 4 arrière-grands-parents mohawks et au moins 50 % de sang mohawk.
(9 février) Ellen Gabriel, présidente de la Quebec Native Women Association, proteste contre la décision du Conseil de bande et demande que la population entière de la réserve soit consultée avant de mettre la menace d'expulsion à exécution ; elle prétend qu'il s'agit d'une infraction à la Loi des Indiens du Canada et aux règles de la bande en vigueur depuis 1981.
(15 février) Alvin Delisle qui, en 1988, avait lui-même livré des avis d'éviction alors qu'il était membre du conseil de bande, déclare que la décision d'expulsion est raciste et qu'il regrette celle à laquelle il avait participé 1988 ; sa conjointe n'ast pas mohawke et a reçu son avis d'expulsion alors que lui-même est au Royal Victoria Hospital en attente d'une chirurgie cardiaque.(16 février) Le conseil de bande maintient sa décision d'expulser ceux qui ne sont pas considérés comme mohawks.
Couvent des jésuites (1717) ; loge le musée de la mission Saint-François-Xavier.
Corps de garde, poudrière et logement des officiers (1754).
Église Saint-François-Xavier (1845) ; plans du père jésuite Félix Martin et de l'abbé Joseph Marcoux ; sculptures (1845-1853) par Vincent Chartrand ; éléments de la voûte par GuidoNincheri ; certaines oeuvres datées du XVIIe siècle ; orgue Casavant (1916) ; tombeau de Kateri Tekakwitha (marbre, 1972).
Enceinte protectrice (1720) ; plans de Gaspard-Joseph Chaussegros de Léry.
Presbytère (vers 1716).
Sanctuaire Kateri-Tekakwitha ; rappelle le souvenir de cette Iroquoise béatifiée en 1980 et qui pourrait devenir la première sainte d'origine amérindienne. Centre culturel amérindien.
Hôpital Kateri Memorial.
Golf ; un parcours de 9 trous (Mohawk Hills), un parcours de 18 trous (Lafleur), un parcours de 27 trous (Caughnawaga).
Kahnawake est un mot iroquois issu de la contraction de ohnawa signifiant «rapide» et ké signifiant lieu, le tout signifiant «au pied des rapides», une allusion au sault (rapides) Saint-Louis. Kahnawake est prononce Ganawagué par les Mohawks.
Kahnawakon est un mot amérindien signifiant «dans les rapides».
Appelée Caughnawaga jusqu'en 1980 ; Caughnawaga est une corruption de kahnawake. La seigneurie du Sault-Saint-Louis emprunte son nom au sault Saint-Louis entre l'île de Montréal et la rive-sud du Saint-Laurent.
Sur la rive droite du Saint-Laurent.