le 1er Mai : La fête de l'amitié !

J’ai décidé l’année dernière que la fête du travail était loin d’être original, j’en ai fait la fête de l’amour, je dirais plus de l’amitié pour être précise.
J’ai pris cette habitude de changer la signification de certaines fêtes parce qu’elles ne signifiaient rien pour moi.
Bien sur je ne ferai pas une publication nationale sur ma façon de penser mais au moins ca à le mérite d’être dit sur mon blog.
Je pense qu’on devrait passer plus de temps à dire aux gens combien on les aime, combien ils ont de la valeur sur cette terre.
Et le plus dur qui mérite un combat quotidien : "Aimer nos ennemis comme nous même et leurs faire un geste pour leur montrer que l’amour devrait inconditionnel et immérité.

C’est pas facile à faire mais si tous le monde s’y met, le résultat peut être plus que satisfaisant.

1 Jean 4 (La Bible)

"Bien-aimés, aimons nous les uns les autres".

1 Corinthien 13 (La Bible)

"Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, si je n'ai pas l’amour, je suis un airain qui résonne, ou une cymbale qui retentit.

Et quand j'aurais le don de prophétie, la science de tous les mystères et toute la connaissance, quand j'aurais même toute la foi jusqu'à transporter des montagnes, si je n'ai pas l’amour, je ne suis rien.

Et quand je distribuerais tous mes biens pour la nourriture des pauvres, quand je livrerais même mon corps pour être brûlé, si je n'ai pas l’amour cela ne me sert de rien.

L’amour est patiente, elle est pleine de bonté ; l’amour n'est point envieuse ; l’amour ne se vante point, elle ne s'enfle point d'orgueil,

elle ne fait rien de malhonnête, elle ne cherche point son intérêt, elle ne s'irrite point, elle ne soupçonne point le mal,

elle ne se réjouit point de l'injustice, mais elle se réjouit de la vérité ;

elle excuse tout, elle croit tout, elle espère tout, elle supporte tout.

L’amour ne périt jamais. Les prophéties prendront fin, les langues cesseront, la connaissance disparaîtra.

Car nous connaissons en partie, et nous prophétisons en partie,

mais quand ce qui est parfait sera venu, ce qui est partiel disparaîtra.

Lorsque j'étais enfant, je parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant, je raisonnais comme un enfant ; lorsque je suis devenu homme, j'ai fait disparaître ce qui était de l'enfant.

Aujourd'hui nous voyons au moyen d'un miroir, d'une manière obscure, mais alors nous verrons face à face ; aujourd'hui je connais en partie, mais alors je connaîtrai comme j'ai été connu.

Maintenant donc ces trois choses demeurent : la foi, l'espérance, l’amour ; mais la plus grande de ces choses, c'est l’amour".